Un texte en passant

Même si...

Les enfants diraient, même si que...

Même si l’horloge évite,
Même si le temps passe vite,
Même si…
Nous nous hâterons lentement.

Et si, parfois le coin des autres
Peut aussi devenir le nôtre,
Parfois si…
Nous nous presserons doucement.

Même si votre sourire
Peut aussi colorer le nôtre,
Peut aussi…
Nous nous sourirons simplement.

Ce texte est magnifique !

Lors d'une pénible promenade de ma conscience tel Jean Christophe Lafaille dans le chemin de l'Ascension au plus haute montagne culminant à plus d'absurdité et d'irrationalisme que de neige et brouillard dans l'Annapurna. Je me sens si prêt de toi que j'entends le battement de ton cœur; Je me sens si prêt de toi que la chaleur de ton souffle m'irrite la vue. Toi pour tant qui m'ignore comment l'éléphant ignore un grain de sable au bord de l'eau. Oh! Société pour tant de mon infime regard je regrette tant de biens faits d'aujourd'hui, les méfaits du demain

Gramophone

Un grand Salut à toi, Gramophone!

J'aime bien:

"Toi pour tant qui m'ignore comment l'éléphant ignore un grain de sable au bord de l'eau."
On ne peut pas être plus ignoré que ça!

On rencontre du beau monde chez Mimi!



Bec'

Et vous êtes les bienvenus tous les deux !

Gros bisous !